RANÇONNEUR ET AUTRES TERMES DE CYBERCRIMINALITÉ

Touchant des établissements publics, des institutions ou encore des entreprises de différents secteurs, une nouvelle épidémie a frappé le pays ces dernières semaines : celle des (logiciels) rançonneursIl ne s’agit pas ici de virus, mais d’un autre type de logiciel malveillant, qui crypte des données que la victime de la cyberattaque ne peut récupérer que moyennant le paiement d’une rançon. Le rançonneur peut être introduit par un cheval de Troie : tels des Ulysse malfaisants, les fouineurs dissimulent leur arme dans un logiciel en apparence inoffensif, et s’introduisent dans le système informatique par hameçonnage grâce à un courriel piégé ou bien en profitant d’une faille non corrigée ou d’une porte dérobée.

Et hélas pour les données des utilisateurs, les mesures de cyberprotection et de cyberdéfense mises en place ne parviennent pas toujours à empêcher ou à endiguer cette néfaste odyssée du cyberespace et à assurer la cybersécurité des systèmes.

Pénélope aurait-elle cru que la toile fomenterait une telle cybercriminalité ?

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