En ce mois d’avril, l’eau nous en fait voir de toutes les couleurs. Non seulement des nanoplastiques et autres polluants s’invitent dans les eaux en bouteille, mais des inondations s’abattent sur le pays, entraînant dégâts, excès d’eau et engorgements des sols, en particulier artificialisés. Si des gouttes (ou d’égouts…) et des couleurs il nous faut discuter, nous pouvons donc dire que ce ne sont pas les eaux usées - noires et grises -, qui nous font faire des cheveux blancs, mais l’eau météorique – celle qui, une fois au sol, ruisselle pour devenir eau bleue ou eau verte. Une jolie aquarelle, dit ainsi…
Ôtant l’O de l’H2O, c’est alors la palette de l’hydrogène (qui est en réalité du dihydrogène, soit H2) que nous retrouvons, mais qui ne se décline qu’en anglais : en effet, le français dépigmente le blue hydrogen, qui devient hydrogène à faible empreinte carbone, le grey hydrogen, d'origine fossile, et le green hydrogen, d'origine renouvelable.
FranceTerme est plein de ressources, colorées… tel un arc-en-ciel après la pluie ?